Ce blog a pour simple vocation de partager avec vous des textes et des billets d'humeur sur des sujets divers, et des poèmes... Il ne s'agit pas de récits autobiographiques même si l'inspiration puise sa source dans des faits réels...
Les vacances s’achèvent pour bon
nombre d’entre nous. Certains seront partis vers d’autres horizons lointains, d’autres
auront simplement pris un autre rythme pour changer leur quotidien. Pendant un
temps, vous aurez oublié vos tracas habituels, le stress du boulot, mis un
voile sur la souffrance de votre dernière séparation.
De retour chez soi, il faut
maintenant penser à la reprise du travail, organiser la rentrée des classes
pour les chanceux qui ont des enfants, penser aux activités sportives des enfants
et …. Prendre des résolutions pour soi !! Et oui c’est le grand sport
national de ce début de septembre…
Des mars et des Vénus auront vu
avec effroi le chiffre s’affichant sur leur balance et auront pris la ferme
(NDLR : côté corps c’est plutôt mou !!) résolution de s’inscrire dans
une salle de sports pour le plus grand bonheur des gérants de salle (NDLR :
clin d’œil à Faisca !!).Pourquoi
pas… Même si votre corps vous remercierait de penser à lui toute l’année de la
même façon… Mais pour cela faut il accepter l’idée que le corps et l’esprit
sont liés….
Un mars me disait récemment que
les vacances lui avaient permis d’oublier « la dure réalité de sa vie
privée » faisant référence à une séparation et à son célibat et que cette
reprise la lui rappelait…
Mais qu’est ce que les vacances
au fond ? C’est une parenthèse bienheureuse de temps où l’on ne travaille
pas (NDLR : pour ceux qui ne sont
pas en vacances toute l’année lol…) tout en étant payé. Ce temps là qu’il
soit passé à l’étranger ou près de chez soi est également une belle occasion de
se ressourcer, de profiter pleinement de ses enfants, pour certains de leur
famille et amis. Quelle que soit la formule choisie il me semble opportun de
consacrer du temps pour méditer. Eloignés des tracas quotidiens, nous sommes
plus à même (que le reste de l’année) de sonder notre esprit. Il ne s’agit pas
se triturer le cerveau mais simplement de tirer profit de ce que l’on vient de
vivre pour grandir.
Je vous livre un extrait du livre
de Laurent Gounelle « Les dieux voyagent toujours incognito » qui
illustre bien ce propos : « La
vie est ainsi ; on réalise rarement dans l’instant que les moments
difficiles ont une fonction cachée : nous amener à grandir. Les anges se déguisent
en sorcières et nous délivrent de merveilleux cadeaux soigneusement enveloppés
dans d’ignobles emballages. Qu’il s’agisse d’un échec, d’une maladie, (NDLR :
d’une séparation) ou des vicissitudes du
quotidien, on n’a pas toujours envie d’accepter le « cadeau », ni le
réflexe de le déballer pour découvrir le message qu’il contient : nous
faut il apprendre la volonté, le courage ? Ou au contraire le lâcher-prise
sur ce qui n’a finalement que peu d’importance ? La vie me demande-t-elle
d’écouter un peu plus mes envies et mes aspirations profondes ? (…) Qu’ai-je
besoin d’apprendre dans cette situation ? (…) Mais la colère rend
sourd, et le désespoir aveugle. Nous laissons passer l’occasion qui nous était
offerte de grandir. Alors les coups durs et les échecs se multiplient. Ce n’est
pas le sort qui s’acharne contre nous, c’est la vie qui tente de renouveler son
message ».
Cela permet ainsi de redémarrer
avec des perspectives nouvelles et l’envie d’ouvrir tous les cadeaux gentiment
ou méchamment emballés afin d’avancer pleinement et en conscience dans la vie.
Sur ces bonnes paroles, Vénus
vous souhaite une « reprise » (NDLR : allons !! ça n’est qu’une
étape de calendrier !! et donc une continuité…) pleine d’énergie positive avec
des résolutions de bien être constant en faisant le pont entre le corps et l’esprit….
Vénus pensait
avoir réussi le pari d’oublier Mars quand une chanson entendue à la radio lui
rappela que c’était peine perdue…
« Se quitter pour se retrouver C’est notre vie, c’est notre histoire, C’est notre façon de s’aimer, Fait de bonjours et d’au-revoirs Ta main m’envoie comme un baiser, Et tu t’éloignes dans le soir, Doucement je vais rentrer, Le cœur barbouillé d’espoir. Les jours passent et l’on reste Face à face toujours étonnés Quoi qu’on fasse tous nos gestes Nous déplacent ensemble à jamais. » Daniel Guichard, Notre Histoire
Si j’avais su…
Si
j’avais su te parler
Te
dire le manque de toi Depuis
ce jour de février Où
j’ai pris une autre voie
Serais tu encore
là ?
Si
j’avais su te confier
Mes
doutes et mes peurs En
cessant de te défier Et
provoquer des heurts
Serais-tu encore
là ?
Si
je pouvais enfin te dire
Combien
mon cœur s’asphyxie De
tout cet amour sans vie Et
que je voudrais t’offrir…
Une conversation avec une femme de 86 ans m’a fait prendre
conscience de la difficulté d’être une personne âgée dans notre société.
Nous passons notre vie, pour la plupart, à travailler, à
construire notre vie avec pour ligne d’horizon le fameux « plus tard quand
on sera vieux ». Certains auront épargné tels des écureuils, d’autres
auront investi dans du bâti parce qu’ils ont entendu que c’était une valeur
sure. Pour d’autres encore, des milliers de projets seront reportés à ce moment
tant attendu de la retraite.
Ces raisonnements sont, me direz-vous, essentiellement guidés
par le matériel. Cela nous rassure sans doute. On a alors moins peur si l’on
s’est assuré un confort. L’épargne nous permettra de payer des aides à domicile
pour faire ce que l’on ne pourra plus accomplir, puis grâce à la vente de notre
maison on pourra s’offrir un appartement dans une résidence pour personnes
âges.
Et c’est là qu’intervient cette femme que j’ai rencontré qui
se prénomme Mauricette. Son visage est lumineux et ses yeux encore pétillants
de vie malgré les griffes du temps sur son visage. Les rides sont là pour
rappeler son vécu et ont recueilli au fur et à mesure des années les coulées de
joies et de larmes.
Mauricette a été mariée durant 55 ans et a été séparée de son
mari par la mort (NDLR : et oui difficile de l’imaginer aujourd’hui…).
Elle a eu 10 enfants et 27 petits enfants. Comme elle s’est beaucoup occupée de
sa famille, Mauricette a peu travaillé. Elle a donc une toute petite retraite
de 600 euros. Tout juste de quoi payer son loyer dans cette résidence et ses
factures. Mauricette me raconte qu’il lui reste juste assez pour s’acheter
quelques produits alimentaires et ses changes car elle souffre d’incontinence.
Elle se contente bien souvent le soir de biscottes et de lait.
Sur son buffet les nombreuses photos de ses enfants et petits
enfants. Constatant le regard posé sur ses photos, Mauricette se mit à pleurer.
« Je ne vois plus aucun de mes enfants ni petits enfants » me dit
elle.
Et là elle m’expliqua qu’au décès de son mari, les enfants se
sont disputés leur part d’héritage et voulaient récupérer des objets que
Mauricette souhaitait conserver de son vivant. Depuis cette date, plus aucune
visite ni aucun coup de fil. 5 de ses enfants sont décédés et les belles-filles
ont refusé la présence de Mauricette à l’enterrement….
« Seule » me dit Mauricette « Je me sens
seule… ». Les journées se ressemblent pour Mauricette ; elle passe de
son lit à son fauteuil avec son déambulateur. Après la toilette, quelques pas
dans le long couloir de la résidence puis la télé. Sa plus fidèle amie comme
elle l’a décrit. Elle passe des heures à sa fenêtre à regarder la vie défiler
devant ses yeux. Elle attend la fin dit elle, sans bruits, sans gêner personne.
Combien de Mauricette dans notre société ? Combien se cachent
derrière les murs de ces résidences pour personnes âgées ? Elles attendent
sagement l’heure de la fin sans rien demander à personne. Elles préfèrent
souffrir en silence.
Nous sommes dans une société où l’eugénisme a pris la plus
grande place. Des hommes et des femmes luttent au quotidien pour effacer toutes
traces du temps sur leur visage et corps. Ils dépensent même des milliers d’euros
faisant ainsi vivre dans le luxe quelques grands laboratoires.
Dès que les signes du temps sont trop visibles on est exclu
de la société. Trop vieux pour travailler, trop vieux pour l’amour, « trop
vieux tout court »… Et pour ne pas embarrasser les actifs on fini par
parquer les personnes âgées dans des résidences. On se dit qu’ils sont bien
installés et petit à petit on les oublie trop occupés par notre petite vie.
Pourtant ils ont été des hommes et des femmes actifs eux
aussi, ils ont participé au développement de la société. Pourtant ils ont été
des pères et des mères éduquant jour après jour ceux qui, aujourd’hui, détournent
leur regard. Ces mêmes enfants qui ne
prennent plus le temps d’aller leur rendre visite mais qui s’empresseront de se
déplacer le jour de l’héritage…
Quel manque de respect tout de même…Imaginons-nous un seul instant à leur place…
Quelle souffrance cela doit être que d’être ainsi relégué tel un rebut de la
société dans ces mouroirs…
J’ose croire et espérer à un éveil des consciences afin que
vieillesse rime un jour avec respect à l’instar de ce qui se passe dans d’autres
pays.Il est en effet des contrées où l’on
s’adresse avec un infini respect à la personne âgée, où on lui cède sa place
dans les transports en commun, où on lui porte ses courses gracieusement sans qu’elle en
fasse la demande, où on lui rend visite pour écouter son expérience et toutes
les histoires d’antan….
Un ami m’a dit (NDLR : ou « quelqu’un qui m’a dit » pour ceux qui
écoutent des « nasillarderies »… ne cherchez pas le mot dans le dico c’est
inventé !!) que l’on ne peut pas recoller les morceaux quand une
histoire est cassée. Je trouvais que sa
remarque était très pessimiste. Je lui ai répondu que cela dépend de la nature
de la rupture, des liens gardés ou non par les Mars et Vénus, de qui est à l’initiative
de la séparation, de commentchacun
évolue, etc.… Selon lui on repense toujours à
ce moment de la rupture où par souffrance ou désespérance on en vient à
détester l’autre, à oublier qu’un jour on l’a regardé dans les yeux et on lui a
dit « je t’aime ». Selon lui on ne peut pas réparer un miroir brisé…
Est-ce une fatalité ? Je
reste persuadée que non. Après tout, on a tous entendu parler de ces couples
séparés depuis des années qui se retrouvent un jour (NDLR : par exemple dans l’émission « Perdu de vue » … oui je
sais elle n’existe plus mais j’ai depuis lors arrêté de regarder la télé !!!)
et se remettent en ménage. Le temps aura pour ces Mars et Vénus là amoindri et
lissé les crépitements des disputes ; l’absence de l’autre aura parlé sur
l’intensité des sentiments éprouvés pour l’autre. Le temps aussi, aura en plus
des jolies rides creusées sur le front, fait murir nos Mars et Vénus ;
le temps aura fait taire leurs peurs et abaisser leurs exigences. N’est il pas dit que
le temps guéri de tout ? Leurs blessures respectives, s’il en est, se
seront refermées et les charges contre l’autre seront abandonnées car l’amour
pardonne sincèrement.
Bien sûr, il est des séparations
qui sont salutaires car on se rend compte d’un mauvais choix où que les chemins
pris par Mars et Vénus dans la construction de leur vie ne correspondent plus.
Un érudit disait « la vie est faites
de rencontres et de séparations » et mon voisin de palier me répète
sans cesse « un de perdu 10 de
retrouvés !! »(NDLR : euhh… un
seul me suffit lui répondis-je et là il me regarda avec un sourire mièvre pour
me dire « mais je suis là moi »… Oui je sais il est trop fort mon
voisin !!).
Trêve de plaisanteries, chaque
histoire d’amour est singulière. Lorsqu’il s’agit vraiment d’amour (NDLR : et non d'une simple attirance physique) on peut
effectivement basculer dans la haine (sœur jumelle de l’amour..). Certains
arrivent à prendre de la distance et ne s’en prennent pas à l’autre ; d’autres
usent de leurs temps et de leur énergie pour montrer à leur ex combien ils
souffrent… Ces derniers se rajoutent inutilement de la souffrance. Ne serait il
pas plus sage (si on peut l’être dans ce domaine…) de continuer d’aimer l’autre
dans les souvenirs pour le temps passé ensemble, les joies partagées, les souvenirs tricotés
ensemble…. Ainsi qu'un bien précieux, il sera enfermé dans un coffre remisé au grenier pour ne pas s'empêcher de vivre autre chose...
Même en amour il y a un deuil à
faire… celui de l’histoire qui n’aura pas duré… d’une relation qui ne sera plus…
car même si quelques Mars et Vénus se retrouventau détour d’un croisement (NDLR : et vu que Vénus se perd fréquemment elle passe souvent aux
croisements pour mieux retrouver sa route !!!...) ils ne continuent pas
l’histoire laissée mais en créent une nouvelle avec ce qu’ils sont devenus, ce
que l’histoire passée leur aura apportés, et leur nouvelle vision des choses… C’est
une sorte de renaissance… Et après tout pourquoi pas ? Restons optimistes
à l’inverse de mon ami.
Et n’oublions pas qu’il est
important de « finir d’interroger » chacune de nos histoires d’amour
car elles parlent autant sur nous que sur l’autre. C'est également une étape
indispensable pour s'ouvrir à d'autres personnes. Alors à vous les Mars et Vénus
qui pleurez un amour perdu, séchez vos larmes et ressassez le dicton de mon
voisin (NDLR : à toutes fins utiles il est
célibataire… les Vénus intéressées peuvent écrire sur le blog… et en plus vous
me rendrez service !!!) ...L’amour ne s’est pas
éteint avec votre dernière histoire d’amour… Il se poursuivra dans une nouvelle
romance fort de votre expérience et de ce que l’autre vous aura apporté tout le
temps que vous aurez passé ensemble.
Nous ne savons pas combien de temps il nous reste... alors ne vaut-il pas mieux passer ce temps là à aimer plutôt qu'à haïr l'autre ?
Pas une semaine sans se parler Nous étions unis par une belle complicité
Et d’un regard parfois tout était dit
Souviens-toi, même les silences étaient bénis
Aujourd’hui tu cours après le temps
Plus d’appels mais des sms et e-mails
Tu penses à moi en coup de vent
Et tu ériges une amitié virtuelle
Me rendre service est devenu une corvée
Que tu notes dans la rubrique « à penser »
A force de tomber sur tes répondeurs le soir
Ta voix risque de s’effacer de ma mémoire
A l’heure de la profusion des outils de communication en tout genre, il est une valeur fondamentale qui se délite : l’amitié.
Souvenez-vous. Il n’est pas si loin le temps où nous décrochions notre téléphone juste pour entendre la voix de ses amis, prendre de leurs nouvelles, donner des nôtres ; bref communiquer (NDLR : en vrai !!).
Aujourd’hui, ce sont nos portables, nos ordinateurs qui communiquent entre eux !! Nous nous isolons derrière nos écrans et nous adoptons sans nous rendre compte une amitié virtuelle que la société nous façonne.
Sans cultiver la nostalgie, je me remémore avec plaisir le temps où nous adressions nos vœux par la voie postale (NDLR : les cartes UNICEF se vendent toujours et en plus vous ferez une bonne action !!). Qu’avez-vous fait cette année ? Vous avez composé un sms « Bonne année, bonne santé (…) et surtout paix et fraternité. Bisous » (NDRL : je l’ai réellement reçu… Mars se reconnaîtra…) et vous l’avez envoyé à toute votre liste de contacts. Le listing des amis virtuels est toujours impressionnant en quantité. Un ami me disait qu’il avait 150 contacts dans son téléphone (après un tri sur 300…). Comment entretenir autant de liens ?... Sans doute est ce rassurant d’avoir un répertoire bien rempli…
Peut-on encore parler d’amitié ? Elle peut être belle et des plus solides lorsqu’elle s’entretient de part et d’autre. Elle peut être des plus fidèles et durer toute une vie si elle est profonde et sincère. Elle peut dignement s’appeler encore « amitié » quand elle ne se contente pas uniquement de sms et d’e-mails…
Les Vénus et Mars du 21e siècle ont perdu un bien précieux : leur identité d’homme et de femme. Les Vénus ont payé le prix cher pour leur soi-disant liberté (financière et amoureuse) et petit à petit se sont « masculinisées ». Au travail, elles sont aussi coriaces que les Mars (NDLR : la sournoiserie en plus…) ; en amour, elles sont plus compétitives que les Mars en matière de lâcheté (NDLR : de peur de souffrir, elles rompent sitôt l’histoire commencée par sms ou e-mail). Pourtant elles continuent de rêver au prince charmant (NDRL : en témoigne le succès des sites de rencontres qui promettent le grand amour) et espèrent que le prochain sera le bon. Les Vénus sont comme prisonnières de la carapace qu’elles se sont forgées à coup de rébellion. Elles en ont perdu leur intégrité de femmes.
Les Mars ne sont pas en reste dans la perte identitaire. Leur mère leur ont appris qu’il fallait être fort, ne pas pleurer. Ils sont devenus, en apparence, des hommes insensibles. En réalité, ils sont plus romantiques que les Vénus. Face à la transformation des Vénus, les Mars ne savent pas comment réagir. Ce qui les attire chez ces amazones en surface les font fuir car ils ne trouvent pas leur place d’homme.
L’un et l’autre sont dans la même quête de l’âme sœur mais ce n’est pas cette âme sœur qu’ils cherchent à travers leurs multiples aventures, mais eux-mêmes.
Et comme l’amour triomphe toujours et qu’il faut rester optimise, ils finiront par se retrouver (ou trouver) et conjugueront, cette fois, le verbe « aimer » à l’unisson.
L'année nouvelle vient d'ouvrir son premier chapître. Avec ce passage en 2012, beaucoup sont pétris d'espoir de changements, de renouveau en tout genre... Certains aimeraient même effacer l'ardoise des événements tristes de 2011 et d'une craie neuve écrire, d'une façon illusoire, que des perspectives joyeuses pour 2012...
La palette de la vie nous brosse tantôt un tableau avec les couleurs châtoyantes de belles choses gaies et parfois use des couleurs sombres pour contraster le tout de quelques nuages...
Les années passant on sait qu'après la pluie vient le beau temps. Les années passant on savoure un peu mieux les moments de joie car on sait qu'ils ne durent pas toujours. Les années passant on apprend à vivre le moment présent quelle qu'en soit la couleur.
ZE VENUS vous souhaite d'apprécier chaque moment de 2012 et d'être pour le mieux tout au long de l'année.